Voir les choses différemment

Temps 3D fractale et relativité absolue

Propos de ce texte

Comprendre l’antigravitation et la masse manquante universelle, décrypter les forces fondamentales, marier la relativité d’Einstein et la mécanique quantique, expliquer les phénomènes OVNI, revoir nos équations, modifier notre vision du monde en jetant un pont entre le monde matériel et le monde spirituel, décrire la parapsychologie, saisir la nature des rêves et expliquer le phénomène homéopathie. Tout ça, simplement en concevant différemment notre conception de l’espace, du temps et de l’interaction de ces deux instances. Nous allons découvrir un nouveau modèle, modifiant profondément notre compréhension de l’univers. Ce concept est nommé : la Relativité Absolue (pour la différencier de la relativité restreinte d’Einstein) ; nous la nommerons R.A. dans les textes qui suivent.

Introduction

La science depuis Einstein (un siècle déjà !) piétine. La science est encore, par analogie avec le Moyen Age, en train de considérer que la terre est plate et que c’est le soleil qui tourne autour d’elle. Observer le cosmos c’est comprendre son fonctionnement et comprendre la vie qui s’y est développée. Il est grand temps de revoir sérieusement nos équations. Le temps de Newton est révolu.  Que nous dit la science officielle ? Elle nous dit que l’espace est à 3 dimensions (longueur, largeur et hauteur) où le temps est une constante linéaire qui s’ajoute à ces 3 dimensions de  l’espace pour en constituer une quatrième. Faux, complètement faux. Le temps est lui aussi multidimensionnel et fractal. Une fractale est la reproduction d’une forme à des échelles de plus en plus petites (ou plus grandes). Les fractales géométriques (spatiales) sont nombreuses dans la nature. On les trouve dans les flocons, certains minéraux, végétaux, ou êtres vivants. La dimension fractale est non-euclidienne. Les valeurs fractales se situent entre 1 et 2 si l’on trace une courbe, ou entre 2 et 3 si l’on raisonne en volume. Le temps fractal est au temps physique conventionnel ce que la dimension fractale est à la dimension euclidienne. L’espace, nous disent les scientifiques, est constitué de peu de matière : les constituants de l’atome et de beaucoup de vide (à l’image de l’univers). Il est donc compressible. Mais qu’en est-il du temps ? Le temps est également constitué de particules (que nous nommerons chronons en analogie avec la science quantique pour la matière). Ceci constitue le paramètre : densité. Comme l’espace, il est compressible. Il est ondulatoire, possède une fréquence et donc une vitesse. L’écoulement du temps est traduisible en termes de débit d’information. Plus il y a de densité de temps et plus il contient de l’information. Son sens détermine le futur ou le passé relatif au présent qui n’est qu’un point virtuel sur cet axe de déplacement. Passé – futur n’est qu’une notion abstraite qui ne trouve de sens que dans une fractale de temps en fixant comme point, un présent en mouvement. L’interaction du temps sur l’espace est la suivante : plus il y a de temps et moins il y a d’espace et inversement. La densité de temps est inversement proportionnelle au carré de la densité matérielle. Ceci est fondamental et constitue la clef de la compréhension de tous les phénomènes qui sont jusqu’à présent déclarés inexpliqués : les phénomènes paranormaux et mystiques, les sciences humaines (dont l’homéopathie), l’astronomie avec toute la panoplie de phénomènes qu’elle constate et qu’elle essaie d’expliquer au travers de théories qui sont contredites par d’autres le jour suivant. Cela expliquerait aussi les constatations faites autour du phénomène OVNI. Notre vision de la fiction faite de vaisseaux intergalactiques est aussi grandement à revoir. On ne peut expliquer les OVNI et les phénomènes paranormaux avec nos moyens actuels d’investigation, ni même avec l’interprétation que nous avons de l’univers qui nous entoure. La vérité n’est donnée qu’à ceux qui cherchent et font l’effort de se remettre en question. Les univers parallèles ne sont rien d’autre qu’un défilement de temps différents, ce qui constitue donc une autre fractale du temps.

Voici donc posées, dans les grandes lignes, les bases théoriques d’une autre vision de l’espace-temps. Mais voyons maintenant plus dans le détail toutes les implications qui en découlent dans la pratique. Pour la suite de l’exposé, nous adopterons le mot: « E-T » pour «espace-temps».

Prenons un premier exemple d’application de ces principes sur les rêves

Notre corps physique est le premier étage de notre immeuble appelé « conscience ». A l’état de veille, dans notre quotidien, nous sommes accaparés par l’E-T physique. Le temps physique est alors notre temps prioritaire pour évoluer dans notre monde matériel. A la fin de la journée, nous allons nous coucher et offrir un repos bien mérité au corps physique. Il restera alors immobile contrairement au temps. Les premières heures de sommeil sont l’occasion de changer d’étage. Soudain, nous débarquons dans un rêve. Là, tout va très vite pour celui qui mesure cette phase paradoxale. La conscience du dormeur, elle, se trouve deux étages plus hauts. Pour celui qui se situe dans le monde physique, il se contente simplement de dire que cette phase n’a duré qu’une ou deux secondes en observant l’horloge de l’encéphalogramme. Mais pour le rêveur, il se passe quantité de choses, dans un laps de temps qui est pour lui équivalent à plusieurs heures. Tout ceci est dû au fait que le deuxième étage (le corps astral) à une densité matérielle beaucoup plus faible que le corps physique, ce qui implique que la densité de temps y soit beaucoup plus grande. La différence entre le temps passé dans le monde astral et le temps constaté sur le tracé de l’encéphalogramme correspond à la même proportion de densité de matière entre les deux corps. Cette conscience ramenée à un autre niveau de densité lors de la réintégration du corps, change donc aussi de niveau de densité du temps vécu (ce qui correspond au tracé de l’encéphalogramme).  Dans cette transposition de densité de temps, une grande partie des informations seront hélas perdues ou même remplacées. Le flash médiumnique correspond au même phénomène : il ne représente qu’une fraction de seconde sur notre échelle de temps mais correspond à un élément pouvant représenter plusieurs heures d’information. Les phénomènes paranormaux sont la manifestation d’incursions de densités temporelles supérieures dans la nôtre. Pour le dire autrement, les phénomènes parapsychologiques sont des enclaves d’un E-T dans un autre. C’est pour cela que ces phénomènes sont aussi rapides, pour ne pas dire instantanés et incompréhensibles de notre point de vue. La densité de temps correspond à plus d’informations et se traduit aussi par un effet de lumière. D’où le tunnel de lumière pour les expériences d’approche de la mort imminente et le fait que les mondes supérieurs sont constitués de lumière mais aussi d’informations (Annales akashiques).

Pour les règnes inférieurs (comme celui du minéral où la densité de temps est faible), notre vie terrestre ne représente qu’un mouvement furtif. Les perceptions psychiques dépendent de la faculté des individus à atteindre les fractales de temps. Pour le phénomène OVNI, le simple changement de densité de temps permet de raccourcir les distances sans aucune limite. Un phénomène OVNI est du paranormal techniquement maîtrisé ; un phénomène parapsychologique est du paranormal psychiquement manifesté. Le phénomène fantôme ou poltergeists trouve aussi son explication à la lumière de ce concept.  L’individu est multiple par conception et occupe plusieurs E-T en même temps. La Tradition parle depuis fort longtemps des différents corps qui nous constituent. Autant de corps, autant de prismes spatio-temporels (ou fractales). L’asymétrie du temps qui s’écoule vient du regard que nous portons sur un E-T (monde matériel) depuis un autre E-T (monde spirituel). Plus une créature a de degrés de liberté, a fortiori celle du temps, moins elle est contrainte (y compris par la loi du karma).

Le temps et ses multiples facettes

L’instrument telle que l’horloge atomique, ne sert qu’à incarner ce que l’intellect a, non pas déduit, mais induit a priori. Cette mesure n’est vraie que dans l’E-T où elle se situe. A l’inverse, le temps psychologique est issu d’une perception qui a tout pour être considérée comme subjective mais qui est une information directe, sans intermédiaire. Einstein disait : « Pour nous autres, physiciens convaincus, la distinction entre passé, présent et futur n’est qu’une illusion, même si elle est tenace ». La différence fondamentale entre passé et futur est la capacité de choisir. Ainsi, il est plus facile d’identifier à quoi ressemblent passé et futur selon l’état de cette capacité. Le passé n’est donc que le territoire des choix déjà faits. Le futur, celui de ceux à faire. En revanche le présent ultime (passé et futur confondu) est celui de la contemplation, de l’absence de but, de la source où le choix est sans objet car tout est déjà choisi (l’illumination chez les mystiques). L’ésotériste voyage dans ces fractales pour y voir entre autre des événements relatifs aux passés ou au futur probable. L’écoulement du temps soumet les phénomènes et permet, ou non, qu’ils surviennent, ce qui est à l’opposé de la pensée actuelle : en manipulant le temps et l’espace, les phénomènes leur sont assujettis. La densité du temps n’est pas linéaire mais discontinue, donc fractale. Dans un filtre passe-bas électronique possédant un transfert de groupe négatif, on constate que le signal arrive avant son émission. Ce phénomène trouve son explication par les effets du changement de fractale. De même, l’effet tunnel utilisé pour le microscope électronique n’est qu’un passage d’un électron qui disparait dans une dimension et qui revient chargé d’une information. Le temps a pour grandeur physique : l’énergie. Les chronons sont à l’image du Yin, c’est à dire de l’énergie potentielle. C’est dans leur mouvement d’échange avec l’espace qu’ils deviennent énergie manifestée et donc matière tel que nous la définissons en ce monde. L’orientation de cet écoulement dans toutes les directions détermine un E-T fractal qui donne lui-même naissance à d’autres fractales harmoniques. La vitesse de cet écoulement détermine le rapport densité temps par rapport à la densité espace. Les témoins du paranormal peuvent décrire des situations avec des décalages temporels, plus ou moins grands, selon que leur conscience, c’est-à-dire leur perception, se situe ou non dans de hautes densités temporelles. Une réflexion ésotérique s’impose. On peut aisément concevoir que notre propre vie ressemble à un bref instant lorsqu’elle est convertie dans une haute densité temporelle après la mort. Dans la vie suivante, on n’en retiendra qu’un souvenir diffus d’erreurs et de progrès. C’est peut-être la raison pour laquelle on ne se souvient pas des vies antérieures qui ne sont accessibles que dans les hautes densités (par l’hypnose ou la méditation). Les images de ces vies sont compactées dans notre quotidien (écoulement temporel physique) au point qu’elles en deviennent secondaires. Cette compilation d’instants se moque des circonstances mais constitue la trame générale d’une âme en évolution. La réincarnation bien comprise s’assimile à un mouvement cyclique de progrès s’acheminant vers l’épanouissement intuitif de la conscience de soi. Prenons donc conscience des mécanismes.

Un simple problème de point de vue depuis un E-T déterminé

Dans le cas du spin des électrons, la valeur du spin d’une particule est corrélative de sa frontière fractale entre mécanique quantique et métaphysique. Tout spin non entier (cas des fermions) contribuera à changer de fractale temporelle. Ce qui n’est pas le cas des nucléons mais des électrons ou des quarks par exemple. Dans l’expérience des deux particules complémentaires, où le fait de changer le spin de l’un se répercute instantanément sur l’autre, il s’agit simplement de la même particule… Mais cela n’est concevable qu’en intégrant ce concept de temps fractal dans l’interprétation que l’on fait de l’expérience. Les phénomènes de bilocation relèvent du même principe. Un simple problème de point de vue depuis un E-T déterminé. Plus il y a d’espace, moins il y a de temps, plus la division s’effectue (notion d’harmonique), entraînant avec elle des propriétés nouvelles. La division cellulaire part du même principe de changement d’espace-temps : plus une cellule se reproduit, plus elle prend de l’espace, pour changer progressivement d’E-T, au point qu’un nouveau système (organe) apparaît dans une nouvelle densité de temps en rupture avec celle qui précédait. La complexité ne vient pas du nombre des éléments d’un système mais de leur capacité à engendrer ensemble de l’information, c’est-à-dire de s’unir en un seul ensemble structuré et homogène. C’est la définition même de la néguentropie. C’est aussi le sens de la vie. La nature forme des individus uniques par structuration de leur être sur des plans progressivement de plus en plus subtils à mesure qu’ils participent eux-mêmes à cette structuration. C’est la définition de l’évolution.

Le marché des théories

Dans le maquis des modèles, quelle que soit la discipline étudiée, il est difficile de faire la part des choses. En effet, qu’il s’agisse de raisons de formalisme, auxquelles s’accrochent tant de scientifiques, d’interprétations personnelles auxquelles des petits groupes de savants adhèrent, ou plus simplement pour des raisons de conceptions ou propositions différentes, les théories sont légion. En réalité, il existe des théories dans les théories. L’exemple du Big-bang, spéculation s’il en est, est significatif. Ne serait-ce que pour la seule première seconde d’une explosion supposée de l’univers (il s’agit en fait d’une dilatation de l’espace), il n’y a pas moins d’une centaine de versions de l’inflation qui n’est qu’une des possibilités pour décrire les débuts du Big-bang, lui-même étant une simple supposition ! La mécanique quantique est à la même enseigne. Sans parler de la théorie des cordes qui n’en compte pas moins de cinq, la théorie quantique se scinde en pas moins de neuf courants de pensée qui croisent des notions curieuses comme le matérialisme, l’idéalisme, les variables cachées non locales, l’espace, le temps et l’unicité de l’univers. Qui n’a pas encore sa théorie ?

La R.A. ne s’oppose pas aux expériences réalisées en physique mais à leur interprétation. Si la plupart des calculs utilisant l’espace-temps de Minkowski sont validés, à quelques approximations près, c’est parce que globalement l’espace fractal se juxtapose au temps fractal donnant l’illusion du caractère linéaire des équations, d’où l’emploi des fonctions intégrales. En revanche, si le passage d’une échelle à une autre ne se fait pas au même moment pour l’espace et le temps, des écarts considérables seront constatés. C’est le cas de : la gravitation à très grande et très petite échelle, de l’interaction gluonique résiduelle (écart de charge de couleur des quarks) permettant l’interaction forte, de l’interaction électromagnétique résiduelle liant deux atomes entre eux et dont dépendent toutes les manifestations de la vie, et enfin de tous les phénomènes OVNI et paranormaux.

Les particules ont un comportement corpusculaire ou ondulatoire mais pas les deux. Que sont donc les particules ? Des entités quantiques ? Nous ne sommes guère plus avancés. Pour la R.A., un atome est une unité fractale d’E-T. Aussi curieux que cela paraisse, un atome est bien une entité indivisible. Elle n’est pas faite de matière mais de temps imbriqué dans l’espace dans des proportions déterminées. Rien d’autre que de l’espace et du temps. En revanche, la façon dont cet espace et ce temps seront agencés conditionnera ses caractéristiques.

La mécanique quantique

Max Planck a résolu l’énigme des fréquences lumineuses constatées ne respectant pas les lois établies en affirmant que la lumière est constituée de petits « paquets » (quanta). Les vibrations qui traduisent la chaleur d’un corps ne se répartissent pas selon toutes les valeurs possibles mais obéissent à une loi déterminée. Il donna la formule qui relie l’énergie E et la fréquence f : E = h.f, où h est la constante de Planck tel que E/f est toujours à un multiple entier de h. C’est donc Planck qui a ouvert l’ère de la discontinuité. C’est pourquoi, contrairement à une fausse idée répandue, la physique quantique n’est pas l’étude de l’infiniment petit mais celle des « paquets d’ondes ». Chaque atome peut émettre un rayonnement électromagnétique sous forme de quanta. Lorsqu’un atome est excité, il change de niveau quantique, puis revient immédiatement à son état d’origine en émettant de la lumière. La couleur de cette lumière dépend de l’atome considéré. Ainsi, on peut déterminer le spectre d’un atome en étudiant le type de lumière qu’il émet lorsqu’il a été excité. La fréquence de cette lumière vaut l’écart d’énergie entre état excité et état fondamental divisé par h : (E1-E0)/h. Il faut donc beaucoup d’énergie pour émettre un quantum dans les hautes fréquences. C’est pour cette raison que les accélérateurs de particules réclament de plus en plus d’énergie pour produire des particules ne se trouvant pas dans un état naturel à notre échelle spatio-temporelle.

L’un des grands principes de la mécanique quantique est l’incertitude d’Heisenberg qui interdit de connaître à la fois la position et la vitesse d’une particule. Il faut bien comprendre que l’incertitude d’Heisenberg en mécanique quantique vient de ce que l’on ne peut connaître t (le temps) si l’on n’a pas défini x (la position), ou que l’on ne peut connaître x si l’on n’a pas défini t. C’est comme si l’on posait deux questions en même temps alors que la réponse de l’une dépend de la réponse de l’autre. Mais le fait de définir t ou x influence la réponse. La vitesse de propagation propre est en soi une incertitude puisque l’instrument de mesure va l’influencer. c dépend en fait d’un nombre d’itérations suivant la théorie du dédoublement de Jean-Pierre Garnier-Malet. Il s’ensuit que le concept de trajectoire n’a aucun sens en mécanique quantique. De même, il est impossible de construire un appareil qui détermine la position d’une particule sans la perturber. En fait, le principe sous-jacent est la dualité onde-corpuscule mais personne n’explique cette dualité. Dans les faits, la mécanique quantique parle d’amplitude de probabilité et l’on pose comme nouveau principe l’existence du hasard. Le dilemme de la mécanique quantique dans l’état supposé c’est que objet, instrument de mesure et observateur sont étroitement liés. Les fonctions probabilistes sont un formalisme adéquat pour l’usage qui en est fait mais n’expliquent rien. Elles énumèrent des possibilités selon une chance variable pour qu’elles surviennent. Il faudra que la science explique en quoi les probabilités ont une nature causale. Autrement dit, la science explique la nature des choses par une loi qui n’est en fait qu’un concept : le hasard. Mais la science sans loi n’est pas une science. La clé du problème est d’expliquer la nature du hasard et de sa « densité », c’est-à-dire la place qu’il prend dans la survenance des phénomènes. C’est là qu’intervient la R.A. : le hasard est fondamentalement un problème d’échelle spatio-temporelle ; c’est la traduction de la place du temps dans la phénoménologie. Dans le monde microscopique le temps est prépondérant. A l’inverse, dans le monde macroscopique l’espace est déterminant. La causalité est conditionnelle car elle dépend de la quantité de temps dans un volume d’espace donné. Plus il y a de densité de temps, moins il y a de causalité car plus d’événements surviennent en même temps. Un état quantique n’est donc pas une particule mais une superposition de situations possibles.

L’un des principes de la mécanique quantique est celui-ci : plus la vie d’une particule est brève plus elle possède d’énergie. De même, les courtes distances sont synonymes de hautes énergies. La question qui suit est alors : qu’est-ce que la désintégration de laquelle sont issues ces transformations vers plus de stabilité ? Réponse de la R.A.: il s’agit du transfert de l’information d’une fractale temporelle vers une autre de plus basse densité temporelle.

La relativité restreinte et l’énergie

La relativité restreinte nous dit que l’espace et le temps sont relatifs mais que l’E-T est absolu. Plus un objet s’approche de la vitesse de la lumière, plus sa taille diminue et son temps se dilate, vu depuis une situation d’observateur au repos. L’énergie (manifestée et telle que définie par la science) est un écart d’échelle temporelle. Elle est donc assimilable au temps fractal et peut remplacer la notion de masse en mécanique quantique. Pour être plus précis, la masse est décrite par l’espace qu’occupe la particule. Elle varie seulement par les chronons que cet espace contient. La masse n’est pas ce qu’elle semble être puisque pour la déterminer, nous la déduisons de l’équation d’Einstein : E = mc². Dans la réalité expérimentale de l’infiniment petit nous mesurons toujours une énergie. On voit alors que la masse des particules n’existe pas intrinsèquement car elle équivaut partiellement à l’expression des valeurs fractales temporelles. Cette équation doit donc être remise en cause; E n’est plus égale à mc². Elle n’est elle-même que relative par rapport à l’E-T dans laquelle elle se situe. Ainsi, l’énergie des fractales correspondant à de très hautes densités temporelles reste potentielle pour une fractale inférieure donnée, sans déploiement dans celle-ci. L’énergie quantique est essentiellement liée à la durée des phénomènes, et non à la masse des particules. A noter que la masse se comprend aussi comme l’intensité du potentiel gravitationnel. Or, la gravitation est une courbure de l’E-T qui influe directement sur la vitesse d’écoulement du temps. Potentiel électrostatique et potentiel gravitationnel ont tous deux la même pathologie : une divergence du champ de jauge. La relativité générale décrit la gravitation comme une courbure de l’E-T. Il ne s’agit que de géométrie. Mais on ne peut décrire par la géométrie la nature du temps, même s’il est tentant de le faire pour nos esprits matérialistes qui cherchent en permanence à savoir où se trouvent les choses quand on devrait chercher à savoir quand existent les faits. Il faut un esprit autrement plus puissant pour saisir la non-géométrie plutôt que la géométrie, qui est par définition spatiale, accessible à nos sens triviaux. Cette supériorité de l’intelligence du temps risque de ne pas être reconnue tout de suite puisqu’elle vient d’une perception qui exclue l’usage des yeux pour voir le monde. En R.A., contrairement à la relativité générale dans laquelle l’application de la force se fait depuis le point de vue d’un E-T déterminé, on décale à la fois l’E-T-source (celui qui pousse le wagon) et l’E-T-récepteur de l’énergie (le wagon). Il s’agit donc d’une translation de différentiel spatio-temporel. En termes de théorie du dédoublement, on déplace simplement les horizons successifs de Ω0 à Ω6.

La loi de conservation de l’énergie est en réalité une loi de diminution (ou sélection) de l’énergie. Notons que la vitesse de la lumière, pour la R.A., est la limite d’échange de l’espace en temps obtenue par un mouvement. Ce dernier n’est qu’un des modes de transfert de quanta d’espace en quanta de temps. Néanmoins, et c’est le principe même de la R.A., le transfert d’espace en temps (ou inversement) est essentiellement dû aux échanges « locaux » opérés entre fractales spatio-temporelles. L’astuce est simple : des grains d’espace sont changés en grains de temps et inversement. Cette perte de grains d’espace est le processus de dématérialisation. La signification intrinsèque de l’énergie n’a jamais vraiment été comprise car elle possède de nombreuses expressions selon l’échelle des objets auxquels elle s’applique : énergie mécanique, biologique, chimique, électromagnétique, quantique, du vide, etc. Cette signification c’est le temps ! Pour bien le comprendre il faut plus qu’un effort, il faut un exploit de notre esprit puisqu’il s’agit d’abandonner des siècles d’erreurs : le temps physique de notre montre n’existe pas. Il n’est qu’une pâle copie du sens profond du temps dont le temps psychologique décrit la quintessence. Einstein affirme que la simultanéité est illusoire, notamment à travers le paradoxe de la grange. Ce dernier montre qu’une perche, plus longue au repos qu’une grange, peut, lancée horizontalement à grande vitesse, être incluse dans la grange dont on peut alors fermer les portes d’entrée et de sortie en même temps. Cela est vrai si on appartient au référentiel de la grange, alors que ce n’est pas le cas dans celui de la perche. En d’autres termes, un événement peut appartenir au présent, au passé et au futur selon le référentiel dans lequel on se trouve. Le décalage entre présent (au sens trivial du terme) et passé ou futur (c’est-à-dire loin dans un sens ou dans l’autre) sera d’autant plus important que la densité temporelle sera grande.

OVNI

Nous avons, jusqu’à présent, pensé complètement à l’envers à propos des OVNI. Ils ne cherchent pas à dépasser cette vitesse c mais, au contraire, à la réduire, de notre point de vue, à son minimum ! Or, les physiciens savent que cela est parfaitement possible puisque la dernière expérience en date a permis de ralentir la vitesse c à 1,5 m/s ! Pour ce faire, le système qui voyage (vaisseau + occupants) doit « descendre » dans l’infiniment petit, ou, plus exactement, doit utiliser une caractéristique du temps, sa nature fractale, qui mime les états décrits par la mécanique quantique. Ce n’est pas le vaisseau qui voyage, c’est l’espace qui varie. Les étoiles se rapprochent. Cela est possible grâce à la variation du temps fractal. Ceci explique la prodigieuse accélération constatée qui n’est qu’une illusion due à un différentiel de densité temporelle, mais aussi à une diminution illusoire de leur taille, nous donnant, un peu plus, l’impression qu’ils sont loin.

Les formes-pensées

Qu’est-ce qu’une forme-pensée ? C’est une information, ou une structure d’informations (exactement comme une molécule), possédant l’énergie que son créateur a pu y consacrer. Cette énergie est souvent d’origine émotionnelle mais d’autres formes d’énergie existent. Les formes-pensées, par nature immatérielles, sont des créations issues de la construction soit de l’univers originel, soit des créatures. Elles sont plus ou moins cristallisées dans le cosmos, jusqu’à la densité matérielle, en fonction de l’énergie et de la précision, maintenue dans le temps, consacrées à leur élaboration. Mais toute création est la réalité en soi, quelle qu’en soit sa forme, matérielle ou non. Pour bien comprendre ce mécanisme, nous devons nous attacher personnellement à saisir et nous exercer à la fabrication des formes-pensées. Quand notre conscience s’affranchit de l’espace dans les exercices de méditation, elle s’ouvre sur une plus large densité de temps et donc d’information. La plupart de nos expériences psychiques, comme nos rêves, restent emplies des stimuli de la vie. Ils sont le siège de nos désirs mal exprimés ou de nos peurs profondes. Ainsi, nous subissons nos propres formes-pensées comme celles des autres. Etre pragmatique n’est pas être matérialiste mais capable d’expérimenter et de s’en donner les moyens. Le mystique est le plus pragmatique de tous.

La dématérialisation est équivalente à un éventail replié qui conserve la mémoire de forme, forme que l’éventail déploie lorsque celui-ci est déplié, c’est-à-dire matérialisé. Les formes sont conservées dans les hautes densités temporelles comme les formes fractales le sont quelle que soit l’échelle. C’est tout le sens d’un univers holographique. Une forme n’est qu’une structure d’informations comparable aux données compressées sans perte d’information réalisées par les ordinateurs. Il faut bien sûr distinguer forme et objet. Le matérialiste les confond. La théorie de la décohérence va plus loin que l’idée de superposition d’états. Elle dit que la matière est immatérielle dans une configuration telle qu’elle représente un système cohérent au sens électromagnétique du terme, c’est-à-dire que la matière n’est pas matérielle tant qu’il n’y a pas de réduction du paquet d’ondes (pas d’interaction macroscopique). Cette théorie explique que l’on peut matérialiser ou dématérialiser des objets.

L’antimatière

Nous n’avons obtenu, au mieux, que 50 000 atomes d’antimatière pendant quelques microsecondes dans un champ magnétique d’une très grande puissance (donc sans contact matière/antimatière). L’antimatière ne semble être que la signature d’une frontière spatio-temporelle fractale. L’antimatière n’existe pas en soi, et pourtant elle est produite tous les jours. La pseudo-rencontre entre matière et antimatière démontre l’énergie colossale des fractales temporelles supérieures. Si la ligne d’univers d’un objet (notion de relativité restreinte) est dépassée nous obtenons une vitesse supérieure à celle de la lumière. Si un électron franchit cette ligne d’univers il devient un positron, c’est-à-dire un antiélectron. Toute l’antimatière semble donc être le signe d’une causalité qui va en sens inverse de la nôtre. L’antimatière peut être considérée comme l’absence de causalité du monde physique et non pas comme une symétrie de la causalité se traduisant par une causalité inverse. L’antimatière n’est pas à l’opposé de la matière mais est une « non matière ». L’antimatière apparaît comme une l’image inversée de notre écoulement temporel alors qu’elle est une compensation du caractère cyclique et circulaire des événements. Le temps cyclique veut, qu’après avoir parcouru une période, un phénomène revient exactement à son point initial. Ce qui contredit l’écoulement irréversible du temps puisque l’effet ne peut précéder la cause dans le temps linéaire. Il a par ailleurs été démontré l’existence d’une violation de la causalité par une légère brisure de la symétrie T pour les Kaons neutres. Cette brisure est le signe de l’existence de ce léger décalage entre déploiement de la sinusoïde du temps et du rattrapage temporel (compensation du temps linéaire sur le temps cyclique). Si l’antimatière est la compensation entre temps cyclique et temps linéaire, cela a pour conséquence qu’elle disparaît au-delà d’une certaine énergie ou, plus exactement, qu’elle s’assimile à la signature d’une plus haute densité temporelle, étant entendu que cette compensation se fait à un niveau plus fin que la fréquence de la particule considérée. Notons que les photons n’ont pas d’antiparticule, et pour cause. La matière est issue de l’antimatière par écart de densité de temps, c’est-à-dire de la « non matière ». Cette « non matière » est une séquence de temps se produisant selon un écoulement de temps bien supérieur à celui de la matière, générant ainsi de l’énergie par variation fractale : la densité temporelle supérieure émerge dans la densité inférieure. Elle doit alors se manifester par une libération colossale d’effets énergétiques. La ligne d’univers limite, associée à la vitesse de la lumière, devient alors une frontière fractale, c’est-à-dire un rapport entre le temps et l’espace au sens de leur granularité. Si les physiciens quantiques intègrent les antiparticules dans les matrices de diffusion c’est précisément parce que la stabilité de la matière (écoulement temporel fractal déterminé) impose à ces « antiparticules » de retourner, non pas dans un sens du temps inverse au nôtre, mais dans un écoulement du temps supérieur à celui de l’échelle atomique, c’est-à-dire dans un monde physiquement acausal duquel on ne peut faire émerger un écoulement temporel (superposition du temps quantique). La « non matière » est donc située dans une échelle temporelle fractale différente (densité de temps supérieure) de la matière. Il n’y a pas symétrie mais variation fractale temporelle d’un niveau fin vers un autre qui l’est moins. Pour être plus clair, l’antimatière est un rattrapage, une compensation de l’entropie issue d’un écoulement temporel. C’est pourquoi la causalité est variable. Comment se fait-il alors que les biochimistes, les neurologues, les physiologistes et les psychiatres peuvent voir une continuité causale entre certains phénomènes, tant internes qu’externes du point de vue physique, et la perception que l’on en a ?

La masse manquante de l’univers, le red shift et la théorie du Big-bang

Les astrophysiciens admettent, dans le cadre de l’expansion de l’univers, une déperdition de l’énergie puisque la fréquence est modifiée par cette expansion d’espace. Celle-ci diminue le nombre de cycles par unité de temps conventionnelle. Il n’y a donc aucune hérésie à faire voler en éclat cette loi de conservation. D’un autre côté, l’énergie cinétique d’une particule vaut : E = ½.m.v² où m est sa masse et v sa vitesse. Dans le modèle cosmologique standard nous obtenons donc une conservation de la masse et une perte corrélative d’énergie à mesure que la particule s’éloigne dans l’espace qui se dilate. Inversement, nous pouvons donc admettre, dans l’infiniment petit, un accroissement d’énergie sans augmentation corrélative de la masse en « jouant » sur la fréquence, dès lors que nous parviendrons à percer la nature du temps se trouvant au dénominateur. En admettant que cette unité temporelle ne reflète pas la réalité de l’écoulement du temps, mais le sous-estime dans le cadre d’un temps fractal, nous obtiendrons alors des énergies plus grandes à l’échelle de l’onde, non perceptibles à notre échelle, c’est-à-dire celle de notre unité « seconde ». C’est en fait une sous-estimation dans l’infiniment petit, et une surestimation dans l’infiniment grand.

Le red shift est un effet Doppler électromagnétique qui consiste à décaler la fréquence de la lumière blanche des étoiles vers le spectre rouge du seul fait du mouvement relatif d’éloignement entre cette étoile et la Terre. La fréquence apparente mesurée est donc inférieure à la fréquence réelle. Les scientifiques ne savent pas le nombre et la répartition des trous noirs, facteurs essentiels et supposés de la gravitation. L’estimation de l’homogénéité et de l’isotropie se fait dans l’univers observable et non l’univers entier. Par ailleurs, il n’y a pas assez de matière observable pour rendre compte de la dilatation de l’univers. Probablement parce que l’univers ne se dilate tout simplement pas! Il n’y a pour l’instant aucune raison objective de penser que les 70% de masse manquante soient uniformément répartis puisqu’on ne sait pas où ils sont. La découverte de la matière sombre elle-même aurait dû remettre en question le modèle du Big-bang. Mais pour le sauver, les cosmologistes s’accrochent à une hypothétique matière exotique qui n’a jamais été observée pour éviter d’expliquer que, dans le cas contraire, une énorme quantité de deutérium (isotope de l’hydrogène) aurait dû être produite par l’univers primordial, ce qui va à l’encontre du modèle lui-même. L’observation de supernovae éloignées suggère que l’univers est en expansion accélérée car elles se sont avérées moins lumineuses que le modèle standard le prévoyait. Or, pour que l’univers soit en expansion accélérée il faut y adjoindre une nouvelle forme d’énergie dite énergie sombre que l’on n’a jamais vue en dehors des spéculations des tenants du modèle du Big-bang. Cette baisse de luminosité pourrait plus simplement s’expliquer par des poussières galactiques produites par condensation du fer sous forme d’aiguilles rejetées par des générations précédentes de supernovae comme le propose Jayant V. Narlikar, astrophysicien indien, phénomène que les expériences de laboratoire confirment. Il affirme aussi que le Big-bang n’explique pas pourquoi un différentiel de décalage vers le rouge existe entre deux galaxies matériellement reliées par un filament, dont la probabilité qu’il s’agisse d’une coïncidence due à des arrières plans judicieux est extrêmement faible. Or, le décalage vers le rouge est un des piliers du modèle dominant. On pourrait plus facilement imaginer que l’espace n’est pas homogène, ni isotrope, en considérant sa nature fractale. Ce faisant, plus la distance entre une étoile et nous est grande, moins le temps s’écoule. Autrement dit, la fréquence étant directement liée au temps fractal et discret, la distance elle-même est source de red shift sans faire appel à l’effet Doppler. L’âge de l’univers est déterminé par une série continue d’estimations en passant par celle de la constante de Hubble qui n’a cessé de diminuer pour permettre aux corps les plus vieux d’entrer dans l’âge prédit, estimé aujourd’hui à 13,5 milliards d’années. Mais l’univers a-t-il vraiment un âge ? Au regard de la R.A., la réponse est non; de plus l’univers est stationnaire. Chaque système galactique ou stellaire comporte sa propre horloge.

La masse manquante de l’univers (évaluée quand même à 70% voire plus !!!) correspond à la masse qu’il faudrait pour maintenir les galaxies dans leur apparente stabilité (équilibre des forces centrifuge et de gravitation). Les hypothèses ne manquent pas pour maintenir notre vision actuelle de l’univers : masse sombre, masse ombre, univers miroir invisible, énergie sombre, répulsive,… En fait, il ne nous manque rien ! Le temps variant comme l’inverse de l’espace (aux fractales près), plus ce dernier est grand moins le temps pèse. La gravitation est une force. Une force est le produit d’une masse par une accélération. Une accélération est une distance divisée par un temps au carré. Si nous diminuons le dénominateur (le temps) tout en augmentant le numérateur (l’espace), nous obtiendrons un chiffre rapidement grand. Si nous multiplions ce chiffre par un autre (la masse) et que ce dernier diminue moins rapidement que le dénominateur (la masse pesante décroît quand l’espace augmente en R.A.), le résultat sera alors suffisamment grand pour créer une divergence entre fractales. La voilà notre masse manquante ! Nous avons très largement sous-estimé la gravitation aux grandes échelles ! La gravitation augmente même (relativement) avec la distance. Cela est rigoureusement conforme aux observations. En effet, le facteur de masse manquante pour une galaxie est de 3 à 5 par rapport à la masse existante estimée. Mais il est de 10 et plus pour un amas de galaxies ! Cela signifie bien qu’aux fractales d’espace (échelles des systèmes) sont associées des fractales de temps. En d’autres termes, la variation fractale de l’écoulement du temps conditionne le potentiel gravitationnel.

Une galaxie est un disque qui tourne sur lui-même. Mais la masse (on parle de densité de matière) la plus importante de la galaxie est agglomérée près de son centre. En vertu du moment cinétique de la rotation, ce qui est au centre doit tourner beaucoup plus vite que la périphérie. Curieusement, la courbe d’orbitation circulaire mesurée d’une galaxie, depuis le centre jusqu’à la périphérie, montre des vitesses très proches entre l’axe et la couronne! Les observations de la vitesse d’orbitation circulaire d’une galaxie font donc apparaître une vitesse périphérique bien trop grande, presque aussi grande que le centre. Les étoiles extérieures sont en survitesse. Personne n’explique ce phénomène. Avec la R.A., l’univers devient simple et logique. Une galaxie est un ensemble fractal quasi-homogène dans lequel l’écoulement du temps est relativement stable. En revanche, compte tenu de l’éloignement progressif des étoiles par rapport au centre, celles-ci sont contraintes de parcourir une plus grande distance dans le même temps fractal. De ce fait, elles vont beaucoup plus vite que ce que nos lois terrestres ont montré.

Et l’homéopathie dans tout ça

L’atome est une entité unitaire ayant une faculté d’adaptation variable avec son milieu. Les électrons, qui semblent séparés du noyau, ne sont que l’expression spatio-temporelle des nucléons formant le noyau. Pour bien comprendre notre erreur il faut partir de la genèse d’un atome avant toute interaction. La souplesse variable vient de la quantité de couches électroniques permettant de partager (ou libérer) les électrons périphériques. Les atomes gardent la mémoire de leur manque et peuvent ainsi s’assembler à d’autres pour créer des molécules en complétant les couches électroniques incomplètes, recherchant à tout prix à se recomposer. L’atome a donc une mémoire en R.A. La mémoire de l’eau du français Jacques Benvéniste s’appuie donc sur une réalité, sur une caractéristique essentielle de l’atome. Mais il existe des atomes ayant plus de mémoire que d’autres. De manière générale, plus les couches électroniques sont complètes sans aide extérieure (liaison avec d’autres atomes) plus la mémoire perdurera dans le temps puisque le signal d’origine restera intact, sans mélange et sans dispersion. Autrement dit, moins un atome aura connu d’interactions plus il sera apte à conserver la mémoire (le soft) utile à la dématérialisation. S’agissant de l’eau, la mémoire vient de ce que la liaison hydrogène est toujours faible, gardant une forme particulière d’intégrité mémorielle. Toute l’homéopathie s’appuie justement sur cette caractéristique atomique. Réfuter ce procédé thérapeutique pour raison commerciale du lobby médical c’est nier l’existence même des ordinateurs quantiques déjà existants dont le principe d’application est de garder en mémoire des informations en minimisant justement les interactions. De plus, l’homéopathie a largement fait la démonstration de son efficacité. L’homéopathie qui vise à réduire l’espace permet donc une densité temporelle supérieure c’est-à-dire plus d’énergie et plus d’informations données par la mémoire des atomes. L’homéopathie représente donc une réalité à la lumière de la R.A. par l’application de ses règles.
Remerciements :

Un grand merci aux scientifiques : Jean-Pierre Garnier-Mallet (théorie du dédoublement) et aux Russes N.A.Kozyrev, Albert Veiniket et Vadim Chernobrov qui ont travaillés sur la modélisation mathématique de la théorie fractale du temp. Ces textes sont le résultat des déductions de ces approches et ont une nature plus philosophique que scientifiques en minimisant au maximum le jargon scientifique et mathématique. Ils n’ont aucune prétention mais résument les grandes lignes du champ d’application de cette théorie qui demande encore à être reprise et développée, tant son champ d’application est vaste. Il ne faut y voir aucune affirmation mais seulement des propositions. Ce texte est là pour faire circuler une information qui change radicalement notre façon de percevoir et de concevoir le monde qui nous entoure et dont le champ d’application s’applique également à l’homéopathie en y trouvant son explication plausible.

Merci à Christian Audibert pour ses publications.

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